viernes, 30 de agosto de 2019

Quelques notes sur l’Arménie

 

Quelques notes sur l’Arménie

Août 2020

Encerclée par de montagnes, Erevan, la capitale de l’Arménie, surprise au voyager. Fière d’un passé millénaire – sont prêts à fêter les 2800 ans de la ville -, et profondément marqué par l’ombre du Génocide, la capitale arménienne semble une oasis verte entre terrains montagneux et stériles.

En fait, des avenues principales et les « ceintures vertes » sont pleins d’arbres et jeux d’eau, qui rendent la possibilité de faire des activités en plein air pendant l’été, quand on peut flâner grâce à l’existence de plusieurs restaurants et cafés, situés au milieu des parcs, promenades et sites d’intérêt. L’ambiance semble animé et amicale.

Dans ce sens, on ne peut pas rater « La Cascade », une construction qui, en profitant de la différence d’hauteur du terrain, est composée de plusieurs grands escaliers, fontaines et statues, qui nos mènent jusqu’au point d’où le mont Ararat – le symbole du peuple arménien- peut se contempler.

De la même manière, d’autres points à ne pas rater de la ville sont le solennel Mémorial du Génocide (1967), le Pont de la Victoire (1945), le bâtiment du Grand Hôtel Erevan, la Place de la République – extraordinairement éclairée pendant le soir-, le Centre de Manuscrits Antiques Metenadaram, et les usines de cognac, la boisson typique du pays, la préféré de Churchill et de l’iconique Charles Aznavour.

L’architecture locale est un mélange de styles entre l’Orient et l’Occident, auquel vient s’ajouter l’empreinte laissée para la présence soviétique, tour en utilisant leur typique pierre rose, comme cela peut être apprécié sur la façade des bâtiments publics du centre-ville.  

Hors de la ville, et pas très loin, on peut se mettre au vert en faisant une escapade ver le sud afin de visiter le Monastère de Gerhard, du XIIIème siècle - patrimoine mondial de l’UNESCO-, el le Temple Garni, de style gréco-latin, possiblement construit pendant le Ier siècle de notre ère.

Bref, il vaut bien la peine d’organiser un parcours par toute cette riche région caucasienne, y comprenant la Géorgie, l’Azerbaïdjan et la Turquie. Au-delà des complexités politiques, c’est un berceau de civilisations ainsi qu’un pont entre Orient et Occident.